Constat clair et sans langue de buis de la décadence du chant sacré dans nos églises, par le consulteur de diverses congrégations au Vatican:
« Avant le Concile, la musique liturgique devait lutter contre la trop grande influence de l’opéra. Aujourd’hui elle est submergée par une musique légère et facile qui donne à certains l’illusion de pouvoir attirer les jeunes. La prépondérance excessive du rythme, la mièvrerie des paroles et l’utopie ou l’horizontalité mondaine en sont la marque. Ces chants ne manifestent plus le lien du quotidien à l’éternel, du devenir à l’être ou de la misère de l’homme à la miséricorde de Dieu. Ils sont davantage l’expression d’un christianisme décadent.«
Nicola BUX, La foi au risque des liturgies, Artège, 2011, p.67
Quelques illustration de ces propos:
… Je me sens un peu moins seul…